Le Gouvernement de Wallonie a marqué son accord sur l'octroi de 55 subventions pour un montant total de 1 236 054,52 € TVAC aux communes sélectionnées dans le cadre de l’appel à projet visant à les soutenir dans la concrétisation d’aménagements temporaires pour les modes de déplacement actifs pendant la durée de la crise Covid.
Le Gouvernement de Wallonie a marqué son accord sur l’octroi de 55 subventions pour un montant total de 1 236 054,52 € TVAC aux Communes sélectionnées dans le cadre de l’appel à projet visant à les soutenir dans la concrétisation d’aménagements temporaires pour les modes de déplacement actifs pendant la durée de la crise Covid.
À l’initiative du Ministre de la Mobilité, Philippe Henry, cet appel à projets avait été lancé en juillet 2020 pour aider les communes à procéder à des aménagements provisoires dans le cadre de la crise sanitaire : piétonnier, élargissement de trottoirs et accotements de chaussée, zone de rencontre, rue cyclable, rue scolaire, piste cyclable marquée ou encore sites partagés vélo-bus. L’objectif est d’encourager un meilleur partage de l’espace public, favoriser les modes de déplacement actifs et permettre des distanciations physiques.
Sur les 70 dossiers de candidatures reçus par l’administration, 55 villes et communes ont été retenues par le comité de sélection.
Acceptées sans restriction mais certaines plafonnées |
|
Ville de Liège |
100 000 € (plafonné) |
Ville de Mons |
33 513,28 € |
Ville de Tournai |
39 420,83 € |
Ville de Gembloux |
39 734,95 € |
Ville de Wavre |
37 712,60 € |
Commune de Bassenge |
8 334,42 € |
Ville de Beaumont |
21 058,40 € |
Ville de Couvin |
15 283,39 € |
Ville de Dinant |
16 078,75 € |
Ville de Durbuy |
24 952,38 € |
Commune d’Ecaussinnes |
24 900,00 € |
Commune de Genappe |
11 117,18 € |
Commune de Gesves |
11 117,18 € |
Commune d’Héron |
25 000,00 € (plafonné) |
Commune de Libramont |
10 806,51 € |
Ville de Marche |
25 000 € (plafonné) |
Commune de Nandrin |
9 815,52 € |
Commune de Neupré |
13 520,00 € |
Ville de Philippeville |
19 634,66 € |
Commune de Profondeville |
8 704,00 € |
Commune de Rendeux |
21 067,55 € |
Commune de Rochefort |
21 337,37 € |
Commune de Tinlot |
13 462,00 € |
Commune de Tintigny |
25 000 € (plafonné) |
Commune de Vaux-sur Sûre |
15 068,48 € |
Commune de Villers-la-Ville |
15 368,56 € |
Commune d’Yvoir |
25 000 € (plafonné) |
Sous-total (TVAC) |
643 453,81 € |
Acceptées partiellement mais certaines plafonnées |
|
Ville de Namur |
65 686,31 € |
Ville de Seraing |
76 324,80 € |
Commune de Braine-le-Comte |
18 832,00 € |
Ville de Huy |
37 864,00 € |
Ville d’Ottignies-Louvain-la-Neuve |
27 417,63 € |
Commune de Rixensart |
20 928,00 € |
Commune de Soignies |
11 301,92 € |
Ville de Bouillon |
7 560,00 € |
Ville de Ciney |
20 792,00 € |
Commune de Comines-Warneton |
19 247,30 € |
Commune de Doische |
15 875,20 € |
Commune d’Esneux |
4 232 € |
Commune de Fontaine l’Evêque |
4 140,98 € |
Commune de Fosses-la-Ville |
16 479,91 € |
Ville d’Hannut |
8 387,20 € |
Commune d’Havelange |
25 000,00 € (plafonné) |
Commune d’Ittre |
23 726,19 € |
Commune de La Bruyere |
12 390,40 € |
Commune de Les Bons Villers |
5 600,00 € |
Commune de Theux |
18 634,80 € |
Ville de Thuin |
13 531,39 € |
Commune de Virton |
24 944,39 € |
Ville de Visé |
19 844,00 € |
Sous-total (TVAC) |
488 340,45 € |
Acceptées mais méritent une attention particulière |
|
Ville d’Arlon |
30 053,50 € |
Ville de Florennes |
15 652,56 € |
Commune de La Calamine |
10 400,00 € |
Commune de Raeren |
23 154,20 € |
Commune de Villers-le-Bouillet |
25 000,00 € (plafonné) |
Sous-total (TVAC) |
104 260,26 € |
Les candidatures ont été analysées par un jury composé du cabinet du Ministre de la Mobilité Philippe Henry, de la Direction des déplacements doux et de la sécurité des aménagements de voiries, de la Direction des Espaces publics subsidiés et de la Direction de la Planification de la Mobilité.
En qui concerne les dossiers qui n’ont pas été sélectionnés, le motif était la plupart du temps que les aménagements proposés n’avaient pas pour objectif d’améliorer la mobilité active ou qu’ils n’étaient pas provisoires mais au contraire pérennes puisqu’ils touchaient à l’intégrité des matériaux de la chaussée.